LE CHOIX D'UNE VIE : 1 - entre rêve et réalité
(édition Rebelle ou De Broca - 1ère version)
Des livres et moi
Un livre que je vous conseille vivement et même si au début, certaines choses vous déplaisent, je peux vous garantir que la suite vous expliquera tout et rattrapera tout le reste ! Alors persévérez et ne vous arrêtez pas à vos premières impressions, vous aurez une belle surprise !
Un livre que je vous conseille vivement et même si au début, certaines choses vous déplaisent, je peux vous garantir que la suite vous expliquera tout et rattrapera tout le reste ! Alors persévérez et ne vous arrêtez pas à vos premières impressions, vous aurez une belle surprise !
Ca soulève assez de questions pour éveiller notre intérêt, apporte assez de réponses pour satisfaire le plus gros de notre curiosité, et laisse juste assez dans le flou pour nous garder accroché.
* Une intrigue "intelligente", on se doute mais la tournure des événements est vraiment réussie, une boucle est bouclée toute en finesse. Le fond tient la route.
* Le charme des personnages en particulier, Kay, Nicola, Gaïa, Kyara... un mélange de beauté et de puissance.
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LE CHOIX D'UNE VIE : 2 - rattrapés par le passé
(édition Rebelle - 1ère version)
Après un premier tome tout en nuances qui m'avait vraiment partagée en deux, Astrid Lafleur revient avec son groupe de chasseurs de vampires, mené par la belle hybride Kay.
Ce tome-ci se veut plus mature, plus sombre aussi.
Pas d'histoire d'adolescente ici, vu que Kyara a disparu en "fusionnant" avec Kay.
On sent dès le début qu'il y a beaucoup d'enjeux et qu'ils sont de la plus haute importance, ce qui confère effectivement une ambiance plus noire au récit, un sentiment d'urgence s'en dégage.
Ursula Dubois
Un livre que j'ai bien apprécié. Il était très difficile de me satisfaire après la lecture de "Non-Stop" (dont vous retrouverez la chronique sur mon blog) mais "Le choix d'une vie, tome 2 : rattrapés par le passé" a tout de même réussi à ne pas me paraître fade. Ce qui signifie qu'il vaut le coup d'être lu.
Un livre que j'ai bien apprécié. Il était très difficile de me satisfaire après la lecture de "Non-Stop" (dont vous retrouverez la chronique sur mon blog) mais "Le choix d'une vie, tome 2 : rattrapés par le passé" a tout de même réussi à ne pas me paraître fade. Ce qui signifie qu'il vaut le coup d'être lu.
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Un deuxième opus à mon sens un cran au-dessus du premier, avec essentiellement des améliorations au niveau du scénario... Il y a des idées, et l’histoire ne part pas dans tous les sens, comme on le voit parfois.
Un deuxième opus à mon sens un cran au-dessus du premier, avec essentiellement des améliorations au niveau du scénario... Il y a des idées, et l’histoire ne part pas dans tous les sens, comme on le voit parfois.
INTERVIEWS GENERALES
Info (juillet 2010)
Née à Montluçon le 16 février 1978, Astrid Lafleur avec son minois d'ange avait tout pour devenir une jeune fille en fleur à l'ombre du bord de Cher. Mais il est des destins qui aiment à se jouer des choses toutes tracées surtout lorsque l'on est mue par l'envie de toucher à tout.
"J'ai d'abord été attirée par la peinture et le dessin, avoue-t-elle avec passion. J'ai exposé à Estivareilles, j'ai également participé à d'autres salons. Je suis très aimantée par tout ce qui touche au domaine artistique : peinture, dessin, mosaïque, créations manuelles diverses, musique, photo..."
A 14 ans, elle commence son premier roman. Elle ne le termine pas car à cette époque, pour se faire la plume, elle préfère taquiner la poésie... Et puis, l'an passé, elle se lance dans l'écriture d'un nouveau roman intitulé "Le Choix d'une vie" et le termine. Et même plus, puisqu'il est publié aux éditions de Broca et qu'on le trouve en librairie (Librairie des Ecoles à Montluçon) et sur le net.
"Les vampires me fascinent comme beaucoup" explique la jeune auteur. Il était donc logique que j'écrive un roman sur les vampires. Mais mon histoire n'est pas une histoire de vampires à proprement parlé. Il y a une intrigue qui ne les concerne pas directement. Je mets juste en scène les vampires et les humains. Les 2 prochains tomes, car il s'agit d'une trilogie, seront cependant un peu plus sombres et plus "vampiriques". /... /
(la fin de l'article n'est plus du tout d'actualité)
La Montagne (juillet 2010)
Astrid Lafleur vit la nuit, aime le sang et s'habille en rouge et noir. Cette Montluçonnaise, "vampire" et fière de l'être, publie son premier roman. A croquer à pleine dents.
Aussi charmante soit elle, Astrid Lafleur n'est pas le genre de fille que l'on fréquente sans s'entourer de quelques précautions d'usage. Chaque rencontre doit être précédée d'une aspersion d'eau bénite. Chaque poignée de main doit se faire à la vue d'une gousse d'ail ou d'un crucifix. Et si jamais il lui prend l'envie d'un bécot dans le cou, vade retro satanas !
Car la dénommée Lafleur, un si joli nom, a la particularité de s'intéresser de très près aux... vampires. Elle ne porte pas souvent de cape, mais s'habille toujours en rouge et noir pendant l'hiver.
Sans surprise, elle préfère la noirceur de la nuit à la clarté du jour. Cheveux et yeux noirs, seul un sourire éclatant vient apporter un peu de douceur dans ce monde obscur.
Pourquoi les vampires ? "Parce qu'ils sont immortels, ils ne sont jamais malades. Et puis, j'aime bien le sang. La couleur seulement, je ne le bois pas. Il n'est pas question non plus que je me fasse triturer les dents pour avoir les crocs". Nous voilà rassurés.
Ado, Astrid Lafleur est une mordue de la série "Buffy contre les vampires". Adulte, elle succombe, de la même manière, au phénomène "Twilight". Toute la planète est contaminée...
Déjà dotée d'une bibliothèque "spéciale vampires", Astrid Lafleur s'est mise en tête d'écrire un roman dont le nom, "Le choix d'une vie : entre rêve et réalité", apparaît bien mystérieux.
Le pitch : Hambourg, en Allemagne. Deux femmes, Kyara, une humaine à la vie idyllique. Kay, mi-sorcière mi-vampire dont l'une des occupations favorites est de lutter contre ses congénères. Un évènement va les rapprocher. Lequel ? Astrid Lafleur n'en dira pas plus. Car il faut garder le suspens.
En seulement trois mois, le roman a été bouclé... /... /
